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les regrets de Marise Payne, ministre australienne des Affaires étrangères

CTN News

 

Sa présence est passée totalement inaperçue du grand public le 22 février lorsqu’elle est venue à Paris. Sur la photo de groupe des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne et de la zone indopacifique, on la reconnaît avec ses cheveux courts et roux sur les marches du centre de conférences de la rue de la Convention qui abrite l’annexe du Quai d’Orsay. On la voit même quelques instants plus tôt poser pour les photographes aux côtés de l’hôte des travaux, Jean-Yves Le Drian et du chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell.

Au cours de ce séjour parisien, Marise Payne a pris garde de ne pas s’exprimer publiquement sur l’affaire Aukus, ce pacte stratégique signé à la mi-septembre de l’an dernier avec les États-Unis et le Royaume-Uni et pulvérisant du même coup le méga-contrat de sous-marins français
signé trois ans plus tôt avec l’industriel français Naval Group pour 34 milliards d’euros. Le Drian avait qualifié la décision australienne de « trahison », de « coup de poignard dans le dos ». L’ambassadeur de France à Canberra avait été rappelé et la relation franco-australienne gelée.

 

Le 30 août, pourtant, à l’issue d’une visioconférence entre les ministres des Affaires étrangères et de la Défense français et australiens, un communiqué avait été publié. Dans son paragraphe 21, il était signalé que « les deux parties se sont engagées à approfondir la coopération dans le domaine des industries de défense et à améliorer leurs capacités de pointe dans la région » et que les deux pays avaient « souligné l’importance du programme des futurs sous-marins ».

Le 15 février, à quelques jours de sa visite à Paris, Marise Payne, se confie au très populaire…

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