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Bruxelles n’est plus un agneau  !

CTN News

Dans un monde toujours plus hostile, l’Europe des 27 adopte des politiques et un discours de plus en plus belliqueux, analyse ce quotidien espagnol.

En février 2020, la menace d’une crise migratoire avec la Turquie a amené l’Union européenne à serrer les rangs avec la Grèce. Et le soutien de Bruxelles s’est alors traduit par la visite à la frontière des trois principaux dirigeants du club communautaire : le président du Conseil européen, Charles Michel ; la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen ; et le président du Parlement européen, David Sassoli.

Environ un an et demi plus tard, une crise analogue a entraîné la présence en Lituanie et en Lettonie, les 4 et 5 décembre, de la présidente de la Commission, accompagnée du secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg. “Notre message est très clair : l’UE et l’Otan travaillent main dans la main pour contrecarrer ce type d’attaques hybrides”, a souligné von der Leyen lors d’une conférence de presse à Riga.

La responsable politique allemande n’a pas mâché ses mots pour qualifier l’attitude du président biélorusse, Alexandre Loukachenko. La Pologne, la Lettonie et la Lituanie ont été confrontées “à une attaque hybride délibérée, cynique et dangereuse. Une attaque organisée par le régime de Loukachenko”, a accusé la présidente de la Commission.

Bruxelles affirme haut et fort que la Pologne et les pays baltes peuvent compter non seulement sur la solidarité de leurs partenaires européens, mais aussi, le moment venu, sur leur soutien militaire.

“L’Europe est en danger”

Une chose est sûre, l’escalade des tensions avec le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, et son allié de fait, le président russe, Vladimir Poutine, a accentué l’évolution de l’UE vers des positions plus dures sur la scène internationale. Selon des sources communautaires, le recours au soft power  fondé sur la politique…

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