Une information confirmée par le directeur général de l’Office d’assurance accidents du travail, maladie et maternité (OFATMA), Agabus Joseph.
Les époux Bince ont passé une semaine entre les mains des ravisseurs qui avaient effectué ce double au rapt au Centre-ville de Port-au-Prince, le 31 décembre.
Ils ont été libérés contre rançon en dépit des protestations de la direction générale de l’OFATMA et celle de l’hôpital St-François de Sales qui réclamaient la libération sans conditions du docteur Josué Edwigh Bince et de sa femme qui une technicienne de laboratoire.