24 heures après son sacre au Majeur américain, Naomi Osaka a exprimé sa gratitude sur les réseaux sociaux envers ses origines. Totalement amorphe au premier set, la Japonaise d’origine haïtienne a affirmé avoir trouvé du réconfort en ses ancêtres pour s’imposer au final (1-6, 6-3, 6-3) face à Victoria Azarenka. Pour se requinquer, elle a juste pris conscience qu’elle a le sang de ses descendants qui coule dans ses veines. Impossible donc de perdre, a-t-elle cru.https://twitter.com/naomiosaka/status/1305168853568294916
Une sortie qui augmentera la sympathie de plus d’un pour la princesse de la petite balle âgée de 22 ans. Son engagement dans la lutte contre le racisme et les violences policières aux États-Unis a été remarquable lors de la quinzaine new-yorkaise. La triple vainqueur du tournoi de Grand Chelem arborait à chaque fois un masque portant le nom d’une victime noire présumée de violences policières au pays de l’Oncle Sam.
En plus de faire preuve d’humanisme, de s’engager dans des causes nobles et combattante en dehors et sur le circuit, la numéro 3 mondiale sait aussi profiter de la vie. Elle a décrit son triomphe à l’US Open comme « un moment incroyable » et a promis de le célébrer dignement en compagnie de son équipe, des gens qu’elle apprécie et qu’elle aime, tout en souriant.
La princesse nipponne née d’un père haïtien et d’une mère japonaise a été aperçue à l’issue de la finale aux côtés de son petit ami, le jeune rappeur américain YBN Cordae, d’un an son aîné.
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